Plop à tous. Comme je suis une truite pour tout ce qui est graph, je ne peu pas ouvrir une galerie aussi je vous présente plutôt ce que j'ai écris. Un soir alors que je m'ennuyais j'ai commencé à écrire un truc en impro. Ca reste correct, enfin en tout cas je l'estime, donc je me permet de vous le faire partager, histoire d'avoir un avis. Si ça plait je mettrai la suite, sinon bah je vous montrerai d'autre truc x). Vala bonne lecture.
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~Prologue~
Le soleil se levait paresseusement sur la ville, éclairant peu à peu chaque parcelle de la cité, réveillant les habitants grâce à sa douce chaleur bienveillante. Les personnes déjà présentes dans la rue pouvaient apprécier l’apparition de ces taches de lumières éparses, des ombres des immeubles qui se propageaient, le plaisir de sentir sur sa nuque l’accolade chaleureuse du soleil qui se posait sur eux. A travers les rues sinueuses le soleil se propageait, serpentant pour atteindre chaque recoin et diffuser sa couleur. Dans un coin de la ville éloigné, entre une boutique vendant des produit culinaires exotique et une vendant de la vaisselle des plus charmante, se trouvait une petite impasse que l’on pouvait qualifier de lugubre, une de ses impasse ou même s’il le pouvait le soleil n’irait pas se perdre. Ce genre d’endroit sordide où il ne valait mieux pas se trouver de jour et encore moins de nuit. Pourtant aujourd’hui la ruelle accueillait plusieurs personnes. Toutes affairées autour d’un homme assis au fond de l’impasse. Autour de lui tout le monde semblait passionné, captivé, impressionné. On le prenait en photo, on le dessinait, on l’examinait. Déjà on imaginait comment il avait pu se trouver ici, les hypothèses les plus folles volaient autour de lui tel des papillons autour une flamme. Un ruban jaune et noir avait été placé à l’entrée de la ruelle pour éviter à d’autre personnes de venir sur les lieux, comme si ceux présent voulait garder jalousement le trésor qu’était cet homme assis tranquillement au fond de l’impasse.
Une femme en particulier semblait tout à fait accaparée par cet individu, placé à deux mètres de lui elle ne pouvait s’empêcher de le regarder, ses yeux posés sur lui ne pouvait aller nulle part. Elle lançait des ordres à tous ceux présents, leur sommant de prendre des photos ou des croquis. De regarder partout, de relever, de classer, de ranger. Mais même si elle diriger les hommes présent tel un chef d’orchestre elle ne quittait pas l’homme des yeux. Dans sa tête des milliers d’idée tourbillonnaient et aucune ne semblait la satisfaire.
Sortant de la boutique vendant des mets exotiques un homme passa sous le ruban et se dirigea vers la femme aux longs cheveux noirs. Dans sa main il tenait un emballage plastique et de l’autre prenait ce qui se trouvait dedans pour le porter à sa bouche. Une fois au côté de la femme il s’arrêta et se mis aussi à contempler l’homme tout en continuant de manger.
- Qu’est ce que c’est ? demanda la jeune femme.
- Je ne sais pas trop… Je dirais des pistaches entourées de moutarde au miel mais je n’en suis pas sur, répondit l’homme en fourrant deux autres friandises dans sa bouche.
La femme quitta enfin des yeux l’homme assis et regarda celui qui se tenait à côté de lui. Il portait un costume noir, il portait toujours un costume noir, une chemise blanche, il portait toujours une chemise blanche, et une cravate noir, toujours une cravate noir. La première fois qu’elle l’avait vu elle croyait qu’il s’agissait d’un employé des pompes funèbres. Ses cheveux tout aussi noirs étaient, comme toujours ébouriffé sur sa tête, comme s’il venait juste de se lever. A bien y réfléchir elle ne se souvenait pas l’avoir déjà vu dans une autre tenue que celle là, comme s’il était figé dans le temps, qu’il avait un jour était comme ça et qu’il avait décidé de ne plus changer.
- Stein… Comment vous faites pour manger ça ? lui demanda-t-elle en soufflant.
- C’est très simple Alexandra, je les prends dans ma main, entre le pouce et l’index si je n’en prends qu’un ou dans la paume si j’en prends plusieurs. Ensuite je les porte à ma bouche. On bouge la mâchoire pour tout broyer et ensuite on avale. C’est assez simple en fait.
La femme le fusilla du regard, si sa tenue était toujours identique il en était de même pour son caractère. Toujours les mêmes réflexions idiotes, cet homme était sans aucun doute le plus énervant qu’elle aie jamais vu.
- Vous en pensez quoi, dit-elle en désignant l’homme assis au fond de l’impasse.
- Hum… Je dirais qu’il est mort, lâcha-t-il simplement.
- Sans rire ? s’exclama-t-elle. Et vous dites cela à cause de quoi ? La tête en moins ou tout le sang éparpillé partout dans cette ruelle.
Après avoir longuement mâché ses friandises et avaler le tout, il s’essuya la bouche du revers de sa main, froissa le sachet vide et le jeta dans une poubelle non loin d’ici.
- Je disais surtout ça parce qu’une bonne intrigue policière commence toujours par un mort retrouvé dans un endroit isolé.
- Ne recommencez pas avec ça Stein… souffla-t-elle, exaspérée.
L’homme se retourna, réajusta son costume et commença à sortir de la ruelle.
- Vous ne restez pas ? l’interpellât-t-elle.
- Il semble évident que pour que l’intrigue commence vraiment il nous faut un corps complet, retrouvez la tête et je verrai ce que je peux faire, lui dit-il sans se retourner.
Vraiment énervant…
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Voila, voila. C'est court, pas nécessairement bien écrit, la mise en page est dégeu mais c'est le contenu qui compte ^^.